jeudi 31 décembre 2009

Bonne année 2010!


L'incroyable magie de la bulle !

Le champagne représente seulement 15 % des vins effervescents, marché d'une incroyable vitalité.
«Plate ou gazeuse ?» Dans tous les restaurants du monde, la sempiternelle question divise les buveurs d'eau en deux camps. Même dilemme pour le vin, mais le public penche de plus en plus vers la bulle, d'où un marché mondial des effervescents en croissance régulière, ce qui à notre époque n'est pas si courant.

Pourquoi la bulle ? Les perceptions tactiles en bouche d'une eau gazeuse procurent des sensations fortes de fraîcheur. Mais pour l'amateur de vins ­effervescents, c'est bien autre chose. Dans sa thèse de doctorat à l'université de Reims, Gérard Liger-Belair a percé le secret de la bulle de champagne : «Une bulle de champagne contient environ trente fois plus d'arômes précurseurs de goût que le vin lui-même.»

Encore plus fort, avec l'aide de chercheurs allemands, il vient de démontrer que «les bulles sont surconcentrées en composés aromatiques, ce qui contribue encore à magnifier les saveurs du champagne». Comme une bouteille de champagne peut produire potentiellement 100 millions de bulles, une bulle faisant en moyenne 0,5 mm de diamètre, cela revient à 80 m² de superficie. Explosif !

Ce qui est vrai pour le champagne est vrai à un degré plus ou moins fort pour tous les effervescents, car la Champagne n'en a pas le monopole. Dans un marché mondial évalué à deux milliards et demi de bouteilles, la champagne n'en représente que 300 millions, soit un peu plus de 15 %.

Certes, la méthode d'élaboration d'un champagne est complexe. Après avoir fabriqué tout à fait classiquement un vin blanc sec, le vin est mis en bouteille avec du sucre et de la levure pour obtenir une deuxième fermentation en bouteille. Au bout de quinze mois au minimum (36 pour un millésimé), la bouteille est mise «sur pointe» et «remuée» pour faire disparaître les traces blanchâtres de la levure morte, ce qui est coûteux.

dimanche 27 décembre 2009

LE MONDE - Lula, l'homme de l'année 2009



Pour la première fois dans son histoire, Le Monde a décidé de désigner la personnalité de l'année. "Sa" personnalité de l'année. L'exercice pourrait paraître hasardeux ou galvaudé. Qui distinguer ? Selon quels critères ? Au nom de quelles valeurs ? Comment se différencier de grands et prestigieux confrères étrangers, tel l'hebdomadaire américain Time, qui nous a depuis longtemps devancés sur ce chemin en élisant sa "person of the year" ?

Nos discussions ont ainsi mis en lumière ce qui nous rassemble sous la bannière du Monde. Puisque, depuis soixante-cinq ans, le titre de notre journal est une invitation au regard planétaire, nous avons choisi une personnalité dont l'action et la notoriété ont pris une dimension internationale. Soucieux de sortir des choix obligés qui auraient pu nous porter vers le président des Etats-Unis, Barack Obama (mais il fut davantage l'homme de 2008 que celui de 2009), nous avons aussi écarté les personnalités "négatives", encore que leur action soit déterminante dans la nouvelle configuration mondiale : Vladimir Poutine et sa tentation-tentative de reconstituer l'empire soviétique; Mahmoud Ahmadinejad, dont chaque parole et chaque acte sont un défi à l'Occident.

Depuis sa création, Le Monde, marqué par l'esprit d'analyse de son fondateur, Hubert Beuve-Méry, se veut un journal de (re)construction, sinon d'espoir; il véhicule à sa manière une part du positivisme d'Auguste Comte, prend fait et cause pour les hommes de bonne volonté. C'est pourquoi, pour cette première désignation, que nous souhaitons désormais renouveler chaque année, notre choix de raison et de cœur s'est porté sur le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, plus connu sous le simple nom de Lula.

Il nous a paru que par son parcours singulier d'ancien syndicaliste, par sa réussite à la tête d'un pays aussi complexe que le Brésil, par son souci du développement économique, de la lutte contre les inégalités et de la défense de l'environnement, Lula avait bien mérité… du monde.

mercredi 16 décembre 2009

Educação bilíngue



A Notícia, 16/12/2009 - Joinville SC

Educação bilíngue

Nicolle Regitz e Elza Cristina Giostri


Crianças bilíngues leem melhor e mais rápido. Pesquisas mostram que seu desempenho acadêmico, entre outras coisas, é melhor. Em uma escola bilíngue, os alunos ficam imersos na segunda língua dentro e fora do espaço de sala de aula. Todo o ambiente é sinalizado e organizado em dois idiomas, e as crianças, com o tempo, passam a utilizar o segundo idioma de forma natural. Nas escolas monolíngues com o ensino de uma segunda língua opcional no contraturno, do qual não participam todos os alunos, as diferenças cognitivas entre os estudantes tornam-se cada vez mais acentuadas. A simples adição de carga horária elevada de um segundo idioma a um currículo monolíngue não garante os mesmos resultados de um ensino bilíngue no qual os professores realizam um trabalho integrado.

A metodologia de ensino é a mesma para os dois currículos e, para isso, a escola procura mixar os conteúdos de maneira que se complementem positivamente e compor um corpo docente formado especificamente para lecionar as disciplinas como matemática, ciências, história e geografia no segundo idioma. Este diferencial é de fundamental importância e é exatamente o que caracteriza uma escola bilíngue. Diversa daquela na qual os professores do segundo idioma são preparados apenas para ensinar a linguagem. Uma escola que possui todo o seu currículo fundamentado de maneira bilíngue, ou seja, que selecionou criteriosamente os temas das disciplinas a serem trabalhados em cada idioma, que organizou projetos multidisciplinares envolvendo as duas línguas e que conta com professores preparados para aproveitar todo esse arsenal de possibilidades oferece aos seus alunos uma educação integral e coerente, além de verdadeiramente bilíngue. A unidade dos currículos é essencial para que o ensino bilíngue atinja seu total potencial na direção do desenvolvimento de toda a capacidade acadêmica.

jeudi 10 décembre 2009

Théâtre - L' étranger à CCBB



L'étranger de Camus


Meursault é um homem totalmente dominado pelo vazio. Depois da morte da mãe, ele decide passear pela praia e, sob um sol escaldante, atira, sem motivos, em um árabe. Meursault é preso, julgado e condenado à morte, mas, mesmo diante do júri, não consegue explicar a razão pela qual matou o homem. Em todas as situações que vivencia, a personagem age indiferentemente e todos os atos e circunstâncias se devem simplesmente ao acaso.

“Além de ser uma narrativa seca das desventuras de Meursault, condenado à morte por matar um árabe, é também uma autobiografia de todo mundo, do homem contemporâneo”, conclui Guilherme Leme.


Data: 10 a 20 de dezembro

Horário: Quinta e sábado, às 20h | Domingo, às 19h

Local: Teatro II | SCES, Trecho 2, lote 22
Bilheteria/Informações: Terça a domingo, das 9h às 21h | Telefone: (61) 3310-7087
Ingressos: R$ 15 (inteira) | R$ 7,50 (meia entrada para estudantes, professores, funcionários e correntistas do Banco do Brasil e maiores de 60 anos)
Classificação: 14 anos

samedi 5 décembre 2009

QUESTIONS POUR UN CHAMPION!


Le célèbre jeu télévisé maintenant sur internet!


Site officiel

Si vous avez SKY (télé câblée) vous pouvez suivre à 17:30!

Bon courage à tous et surtout à Raymonde!